mardi 14 septembre 2010

Great Keppel Island - Jour 2

Nous repartons dès le matin à la recherche de stinger-suit pour affronter les méduses et retournons vers Monkey Beach, ou plutôt la crique attenante à celle-ci, à 40 minutes à pied du camping : Shelvey Beach.

 

L'eau est tellement claire qu'on ne tarde pas à trouver "la forêt" de corail. Nous revêtons nos tenues et hop à l'eau. La crique est déserte et nous ne tardons pas à découvrir les beautés du coin.
Incroyable.
Des coraux magnifiques, des poissons par centaines, colorés et qui passent à quelques centimètres de nous.
Eblouissant.
On explore les deux forêts de corail pendant une bonne heure. Des raies, des coraux, des poissons encore dans tous les sens. Le meilleur spot qu'on ait jamais vu.
Le seul hic, c'est le slalom entre les méduses. A un moment, nous nous retrouvons même cernés par une trentaine d'entre elles , comme dans un film d'horreur. Du coup, un bon coup de palme et on transperce le rideau, protégés par nos stinger-suit.
De retour sur la plage, un bateau accoste. Nous ne sommes plus seuls. Snif.



Après une bonne sieste au camping dans un hamac, nous repartons vers Monkey beach où nous n'avions pas trouvé la veille la forêt de coraux.
Cette fois, on ne peut la louper.
Snorkelling incroyable... mais là-aussi, nous devons véritablement slalomer entre les méduses, de toute taille et partout. Nous croisons des Australiens de notre camping qui nous disent qu'elles ne piquent pas, mais ça ne nous plaît pas trop, nous sommes bien contents d'avoir nos protections.

Le soir, on rentre en longeant la plage et en escaladant les rochers plutôt que de reprendre le sentier.


Du coup, le soleil se couche progressivement au fur et à mesure que nous avançons dans les rochers escarpés. Il nous faut une heure pour rentrer, mais des souvenirs plein les yeux.
On fait un petit détour vers Putney Beach où les arbres rejoignent la mer (photo avec la barque le premier jour), juste à côté du camping. Le vent souffle donc impossible de prendre un dernier bain de mer. Et de toute manière, mieux vaut ne pas y mettre les pieds : d'énormes raies sont posées sur le sable, tout près du bord.